Il y a des heures difficiles, des heures où toutes mes forces m’abandonnent. Dans ces moments, je voudrais n’être encore qu’une enfant qui trouvera le réconfort dans la chaleur et le bercement de sa mère.
Je sais que je ne vais pas me réveiller. Je sais que la douleur va seulement grandir.
Je vais l’oublier parfois. Je vais même rire souvent…. Mais elle ne me quittera pas.
Au fond de ma gorge, au creux de mon ventre, l’angoisse est là.
1 comment:
Pensées en plein...La porte de ma maison t'es ouverte...Besote
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